Honorable Billy Ntunga : « J’invite les enfants de Madimba qui sont au ministère des finances à passer à la télévision pour justifier l’argent du stade Mfuki. »
L’élu provincial de Madimba, l’honorable Billy Ntunga, surnommé affectueusement « papa social » et Bulldozer par la population, a tenu une conférence de presse ce samedi 24 novembre 2024 à la Radio Télé Dynamique Kombo pour présenter le bilan de son quinquennat et lancer sa campagne médiatique.
Après avoir passé cinq ans à l’assemblée provinciale en tant que représentant de Madimba, l’honorable Billy Ntunga, candidat député national numéro 91 et provincial 150 a jugé nécessaire d’expliquer publiquement à la population les actions qu’il a menées durant son mandat, tout en lançant sa campagne électorale afin de contrer les rumeurs néfastes qui circulent à son sujet.
En réponse à la question d’un journaliste sur des allégations de détournement de fonds du stade Mfuki, l’honorable Billy e a présenté des preuves démontrant de façon claire comment cet argent s’est volatilisé. Il a déclaré : « Je n’ai jamais volé de ma vie et je ne le ferai pas, même si on me confie la gestion. Comment un simple député qui n’est pas responsable des finances pourrait-il détourner l’argent du stade Mfuki ? On me combat simplement parce que j’ai initié la construction de ce stade. Est-ce que ce stade est construit devant ma maison ? J’ai beaucoup souffert pour relancer les travaux de ce stade. Je tiens à vous informer que si l’entreprise TOWA avait arrêté ses travaux, c’est simplement parce que le gouvernement provincial n’a pas payé la première tranche, malgré le déblocage d’une somme importante par la banque. Où est passé cet argent ? Le directeur de cette entreprise m’a contacté par téléphone pour m’informer que le ministre provincial des finances était venu dans son bureau et lui avait demandé d’arrêter les travaux en échange d’un versement mensuel de cent mille dollars américains à l’entreprise, au lieu de lui devoir la totalité de la somme décaissée par la banque. J’invite les enfants de Madimba qui travaillent au ministère des finances à passer à la télévision pour justifier l’utilisation de l’argent destiné au stade. »
Concernant les événements survenus au terrain de Kimasi et les accusations portées par un groupe de personnes l’accusant d’avoir fait arrêter les étudiants, l’honorable Billy Ntunga nie avoir déposé une plainte contre qui que ce soit. Il déclare :
« C’était une occasion en or pour le territoire de Madimba de pouvoir profiter de la présence du chef de l’État pour lui présenter les véritables problèmes de Madimba. Malheureusement, certains ont préféré me porter de fausses accusations… » Je n’ai jamais déposé une quelconque plainte pour faire arrêter qui que ce soit… L’étudiant en question avait déjà été arrêté par la police lors des troubles, et lorsque la police voulait l’amener, nous avons simplement remarqué qu’il portait un drapeau de la Mutuelle Fondation. C’est à ce moment-là que nous avons demandé à la police de lui poser des questions pour savoir exactement d’où il avait obtenu ce drapeau. Dites-moi maintenant, quand est-ce que j’ai fait arrêter quelqu’un ? »
Concernant la boucle d’Inkisi qui alimente soudainement la toile et est surnommée « le boulevard le plus long », Le Numéro 91 et 150, Billy Ntunga a qualifié cela de détournement intellectuel, car lors de la budgétisation de ce projet avec l’ancien gouverneur Atou Matubuana, il était prévu que cette boucle commence par Capot Bleu, en passant par le tronçon de la cathédrale jusqu’à l’hôpital Saint Luc. Malheureusement, selon lui, le jour du lancement des travaux, il a été mentionné que le tronçon allait du pont d’Inkisi jusqu’au bureau de la Société Nationale de l’Électricité, au centre d’Inkisi.
Face à tous ces problèmes qui continuent de faire décliner Madimba, l’honorable Billy, membre du parti Autre Vision du Congo Allies (AVC-A) et candidat aux élections législatives nationales numéro 91, ainsi qu’aux élections provinciales éclairées par le numéro 150, invite la population de Madimba à lui accorder un second mandat, tant au niveau national que provincial, afin qu’il puisse défendre plus haut la voix de ce territoire.
